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Les Jeunes Identitaires réveillent Clermont par l’appel du Muezzin !
Publié 5 avril 2011 dans Actions et Videos 0 CommentairesCe 31 mars 2011, l’île de Mayotte est devenue département français. Pour Arnaud Gouillon, candidat identitaire à la présidentielle de 2012, cela ne fait pas pourtant 200 000 Français de plus. Le débat qu’il ouvre est essentiel : qu’est-ce qu’être français ? Pour Arnaud Gouillon, il faut très sérieusement envisager maintenant de dissocier la citoyenneté de la nationalité. Une réforme qui nécessiterait la plus importante révision constitutionnelle que la France ait connue depuis 1958. Et même, étant donné les principes qu’elle remet en cause, depuis plus de deux siècles.
Française au sens où l’entendent l’UMP ou le PS : oui, c’est incontestable. L’île de Mayotte est régie par les lois de la République française, et aujourd’hui l’article 73 de la Constitution française assimile (législativement parlant) cette collectivité d’outre-mer en la transformant en département français. Est-ce que, selon la conception républicaine de la nationalité, les habitants de Mayotte (les Mahorais) sont eux aussi des Français à part entière ? Pour certains, la question ne saurait se poser, les papiers faisant foi d’identité. Pour d’autres en revanche, on veut que des preuves d’amour soient données à la République !
Le résultat du référendum sur le rattachement de Mayotte à la France fut sans appel, totalisant 95,2 % de oui. Le soir des résultats, ce sont des milliers de personnes qui se sont rassemblées avec des drapeaux français afin de fêter le futur rattachement de leur île de l’océan Indien à la République française. La Marseillaise ? Ils la connaissaient. Le drapeau bleu-blanc-rouge ? Ils ne le brûlaient pas, au contraire, ils l’arboraient. On trouvait plus d’amour de la France sur cette terre lointaine qui n’était pas encore française que dans nombre de nos quartiers de métropole. Pour nos politiciens de tout poil il n’y a donc aucun doute : Mayotte et les Mahorais sont français.
Pour nous Identitaires, l’identité ne dépend ni des papiers ni du respect des principes et symboles républicains, autoproclamés « universels » à Paris voici plus de deux siècles. L’identité est charnelle, incarnée et vécue. Notre identité est culturelle, spirituelle et ethnique. Le peuple mahorais est de confession musulmane sunnite, de culture comorienne, et d’ascendance ethnique est-africaine. Une grande partie des Mahorais est polygame avec un indice de fécondité de 4.5 enfants par femme. 35 % des hommes et 40 % des femmes sont illettrés en français alors que ce même pourcentage est inférieur en arabe ! En effet, depuis leur plus jeune âge, les Mahorais vont à l’école de la République et à l’école coranique. Il semblerait que la seconde obtienne de meilleurs résultats que la première. Peut-on être comorien, musulman, polygame et… français ? Alors que toute la classe politique ainsi que les grands partis du système répondent oui à cette question, le Bloc identitaire dit non !
Que Mayotte soit un Lampedusa à la puissance 10 comme l’a rappelé l’historien Bernard Lugan n’est pas la seule raison de ce point de vue. Quand bien même aucun clandestin ne tenterait de venir accoucher à Mayotte afin d’obtenir la nationalité française ; quand bien même aucun Mahorais ne quitterait sa terre pour venir sur la nôtre ; quand bien même le RSA français ne serait pas versé à Mayotte, je répondrais : les Mahorais ne sont pas français ! Notre réponse n’est pas celle d’un banquier calculant la rentabilité de cette départementalisation comme d’autres calculent la rentabilité de l’immigration. Rentable ou pas, la départementalisation de Mayotte (tout comme l’immigration cela va de soi), c’est non ! Notre réponse est celle de porte-parole du peuple français autochtone qui refuse de se faire voler son nom et de disparaître dans le silence, pas celle de politiciens comptables ! Si un Mahorais est français, qui suis-je, moi, enfant du Dauphiné ayant grandi sous l’air alpin de nos montagnes françaises ?
Car c’est en France « métropolitaine » que l’avenir de notre peuple se joue, Mayotte n’étant que le symbole supplémentaire du détournement de notre nom, c’est-à-dire de nos spécificités, de notre identité, subtil mélange d’identités régionales et européennes réunies par une histoire française commune. Si l’on admet que les Mahorais sont français comme les Auvergnats (voire davantage diront certains, « puisqu’ils l’ont, eux, choisie cette citoyenneté »), alors cela ôte tout sens au mot « français ». Si tout le monde peut être français, plus personne ne l’est vraiment.
En revanche si l’on affirme qu’un peuple extra-européen (qui ne parle qu’un français approximatif, et qui, cerise sur la gâteau, est musulman) ne peut en aucun cas être « français », alors nous devons également revoir notre conception de la nationalité en France « métropolitaine ». Car les « Français » portant ces caractéristiques identitaires éloignées des nôtres sont entre 8 et 12 millions en France et les statisticiens prévoient qu’ils seront majoritaires en 2050 (date qui peut paraître lointaine mais que ma génération connaîtra puisqu’en 2050 j’aurai l’âge de M. Alain Juppé et que mon neveu aura celui de Mme Marine Le Pen). Je me sens pleinement concerné par cette transformation identitaire que connaît la France et je ne peux me résoudre à défendre les « Français » tel qu’ils sont définis par tous les partis politiques (sans exception) au détriment de mon peuple (Français de souche européenne, autochtones).
Si nous voulons que la France soit toujours peuplée de Français au sens identitaire du terme au XXIe siècle, nous ne pouvons rester prisonniers des conceptions républicaines dépassées que l’on nous impose.
Le Bloc identitaire propose des solutions à ces problèmes que personne n’ose soulever ! Il est tout d’abord nécessaire de séparer la citoyenneté de la nationalité, la citoyenneté relevant de l’appartenance administrative et la nationalité de l’appartenance identitaire. Selon cette définition on peut donc très bien être citoyen français, c’est-à-dire un citoyen régi par la République française, sans être pour autant de nationalité française. Les Mahorais pourraient ainsi être citoyens français, de nationalité mahoraise. Ils resteraient donc Mahorais à part entière et n’appartiendraient pas au peuple français. De la même manière, je serais un citoyen français de nationalité française. Appartenant pleinement au peuple français, je ne pourrais en revanche me revendiquer Mahorais, Martiniquais ou Réunionnais.
Ma nationalité française signifie également que je participe aux décisions importantes concernant l’avenir de mon peuple, et que mon installation sur la terre de France est acquise et définitive. Ce ne serait bien sûr pas le cas si je vivais à Mayotte ou en Guadeloupe. La nationalité que nous proposons est juste et réciproque. En Guadeloupe par exemple, il serait juste qu’un citoyen français de nationalité guadeloupéenne ait plus de droits qu’un citoyen de nationalité française. Mais l’inverse doit être également vrai.
De même, les citoyens français de nationalités algérienne, ivoirienne, etc. n’auront pas les mêmes droits que les autochtones de nationalité française et ne pourront être identifiés comme français. Contrairement à l’individu possédant la nationalité française, son installation sur notre terre ne serait pas acquise de manière définitive.
La redéfinition de la citoyenneté et de la nationalité est la première étape indispensable pour que le peuple français autochtone retrouve un nom, une existence et une légitimité. Le combat politique des Identitaires s’inscrit dans celui de la lutte de libération d’un peuple qui souhaite retrouver ses particularités, sa fierté, son pouvoir de décision et son autonomie. Ce que nous souhaitons pour notre peuple, nous sommes prêts à le donner aux autres peuples qui vivent encore sous la coupe de l’empire français. La réciprocité est le meilleur gage de paix et de respect de l’Autre.
Arnaud Gouillon
Candidat identitaire à l’élection présidentielle de 2012
Arnaud Gouillon à Clermont-Ferrand Vendredi 8 Avril
Publié 17 mars 2011 dans Actualites 0 CommentairesJean-David Cattin intègre le bureau exécutif du Bloc identitaire
Publié 9 mars 2011 dans Actualites 0 Commentaires
Jean-David Cattin vient de rejoindre le bureau exécutif du Bloc identitaire. Signe particulier : il est suisse. Cette nomination s’inscrit dans la continuité des liens établis ces derniers mois avec le courant populiste suisse, qui s’étaient matérialisés par la présence, le 18 décembre 2010 à Paris, du député Oskar Freysinger aux Assises sur l’islamisation de nos pays. Elle confirme aussi le profond engagement du Bloc identitaire en faveur de la démocratie directe sur le modèle des votations helvétiques. Agé de 25 ans, militant identitaire des premières heures, Jean-David Cattin participait déjà au pilotage du réseau Une Autre Jeunesse et a également en charge depuis deux ans l’organisation annuelle du camp d’été des jeunes identitaires.
Il est aussi le principal artisan de l’implantation identitaire en Romandie à travers les Jeunes Identitaires de Genève et il vient de créer le Mouvement Identitaire Genevois, qui présentera ses premiers candidats aux élections municipales du 13 mars prochain.
Sa principale mission au sein du bureau exécutif sera d’assurer la liaison entre les groupes de jeunes identitaires et la direction du Bloc identitaire. Il participera aussi à la formation des cadres et militants.
Par cette intégration, le Bloc identitaire prouve sa confiance aux militants issus des formations de jeunes identitaires et démontre une nouvelle fois sa dimension européenne.
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Petite enquête sur le « Halal Discret »
Publié 23 février 2011 dans Actualites et Videos 0 CommentairesNous participions il y a quelques jours à la semaine « Pas de Halal dans nos assiettes », organisée partout en France à l’initiative du Bloc Identitaire. Il s’agissait d’informer les clermontois sur le fait que certaines viandes que l’on consomme sont Halal, sans que l’on puisse savoir lesquelles, ni connaitre l’ampleur du phénomène. En effet, force est de constater que certaines enseignes commercialisent des produits halal, afin d’attirer une clientèle musulmane*, sans pour autant en faire un argument publicitaire, et ainsi ne pas rebuter la clientèle « de souche ». Ce que l’on peut appeler le « Halal Discret ».
Notre démarche est donc à présent de lister les différentes entreprises partiquant le Halal discret, et de relayer largement leur démarche, comme ci-dessus à Vichy. Une publicité dont la plupart, soyons en sur, se passeraient volontiers !
* NB : certains produits « Halal » distribués par des géants de l’agroalimentaire ne sont d’ailleurs pas abattus strictement selon le rite des musulmans, lesquels contestent donc leur appellation « halal » et les boudent!
Happening : « Pas de Halal dans nos assiettes ! »
Publié 19 février 2011 dans Actions et Communiques 0 CommentairesRépondant à l’appel du Bloc Identitaire, qui orchestre cette semaine partout en France des actions de sensibilisation au sujet de l’abattage Halal, une trentaine de militants identitaires Clermontois s’est regroupée sur la place de Jaude ce Samedi 19 Février, de 10h à 11h30.
Un première groupe de militants déployait une banderole aux pieds de la statue de Vercingetorix, avec l’inscription « Pas de Halal dans nos assiettes », rejoint en suite par une équipe de jeunes identitaires de l‘Oppidum, parti distribuer des tracts dans les couloirs du centre Jaude. Les identitaires ont alors procédé à une reconstitution* d’un égorgement halal, en « sacrifiant » un militant qui avait pour l’occasion revêtu un costume de poulet. Le choix de la place de Jaude était symbolique, car d’après certains historiens, c’est à cet endroit que se tenaient jadis les plus grands marchés au volailles de la région. Cet mise en scène avait pour but de rappeler les souffrances inutiles endurées par ces animaux égorgés, qui se noient littéralement dans leur sang pendant de longues minutes, A travers une prise de parole au mégaphone, les identitaires ont également signalé aux nombreux badeaux assistant avec surprise à la scène, que nous consommons tous du Halal à notre insu, en payant au passage une taxe contribuant au développent de l’Islam en France. En effet, ce mode d’abattage tend à devenir majoritaire, et une partie de ces viandes se retrouve sur le marché classique. Les identitaires d’Auvergne ont réclamé la traçabilité des produits Halal, afin que les consommateurs soient informés du type d’abattage des viandes qui se retrouvent dans leurs assiettes. Les militants ont enfin exprimé le soutien du Bloc Identitaire au projet de loi à l’initiative de Nicolas Dhuicq, député de l’Aube, visant à mettre en place la traçabilité de ces viandes.
Le groupe s’est ensuite dispersé dans le calme, en poursuivant la distribution de tracts dans les parkings voisins.
Cette action de sensibilisation a été globalement bien accueillie par les clermontois, soucieux de la qualité et de l’origine des viandes qu’ils consomment.
* le faux sang utilisé pour la mise en scène était en fait du colorant alimentaire rouge. Gédéon le Poulet, mascotte de l’opération, est rentré au bercail et se porte bien.
(11-02-2011) Communiqué de presse du Bloc Identitaire
Publié 15 février 2011 dans Communiques 0 CommentairesCommuniqué de presse du 11 février 2011 du Bloc Identitaire .
Après l’apéro-saucisson et les Assises sur l’islamisation, organisés avec divers partenaires, le Bloc Identitaire lance à partir du 14 février une semaine d’actions sur tout le territoire sur le thème « Pas de halal dans nos assiettes ! ».
Le halal n’est pas en effet une simple superstition religieuse qui concernerait les seuls musulmans soucieux de ne manger des bêtes qu’égorgées la tête en direction de la Mecque. Le halal est devenu le mode d’abattage majoritaire dans notre pays sans que les citoyens n’aient été consultés ni les consommateurs informés.
Le halal, c’est la souffrance de l’animal qui, au mépris des lois françaises, est égorgé sans étourdissement préalable. Un animal qui se voit et se sent mourir.
Le halal, c’est aussi une viande plus chère car, pour que chaque égorgement soit considéré halal, il faut un certificat religieux décerné par des religieux. Ce certificat a un coût. C’est le consommateur qui le paye.
Or, ce consommateur n’est pas seulement musulman. En effet, les abattoirs pratiquent le halal à grande échelle. Une partie de la production est vendue dans la filière musulmane. L’autre part sur les marchés classiques et notamment les bas morceaux de la bête que les musulmans consomment en moins grande quantité que les autres.
Afin d’en finir, avec cet état de fait, le Bloc Identitaire soutient l’initiative du député de l’Aube Nicolas Dhuicq qui entend déposer un projet de loi visant à mettre en place une traçabilité du halal (téléchargez ici le texte du projet de loi).
Pour vous joindre à ces actions, contactez le Bloc Identitaire :
Bloc Identitaire
BP 13
06301 Nice cedex 04
L’islam en progression à Montluçon
On croyait le projet de mosquée de Montluçon en sommeil, or voici que l’affaire rebondit.
En effet, un permis de construire, qui prévoit même la présence d’un minaret, aurait été déposé et accordé récemment. Si tel s’avère être le cas, les Identitaires veulent savoir à quoi sera destiné le minaret ? A l’appel à la prière plusieurs fois par jour ? A montrer l’emprise locale de l’Islam ? La Charia sera t-elle enseignée dans ce bâtiment ?
Les Identitaires exigent également la transparence quant à l’origine des fonds : n’y aura t-il vraiment aucun financement publique ? Et qui contrôlera cette mosquée ? Enfin, cette construction correspond-elle réellement au souhait des montluçonnais ? Afin de s’assurer de ce dernier point, les Identitaires proposent d’interroger sur la question les principaux intéressés, tout comme l’ont fait nos voisins Suisses.
En ce début d’année, la cathédrale de Saint-Flour est victime par deux fois d’ actes de vandalismes et de vols (la crèche saccagée) . Or le moindre graffiti visant un lieux de culte musulman ou autre serait une affaire nationale, avec de vives réactions politiques, policières et, médiatiques. Bien sur les »associations », largement subventionnées avec nos impôts se seraient mobilisées avec fracas. Ce qui est insupportable lorsque d’autres communautés sont visées deviendrait-il banal dés lors qu’il s’agit de Chrétiens et les Européens ? Les Identitaires d’Auvergne s’ indignent de tels actes et demandent aux pouvoirs publics de protéger les lieux de cultes traditionnels de notre pays, au même titre que les autres. Ils rappellent que ces actes deviennent de plus en plus graves et fréquents , voire l’église en partie incendiée dans la banlieue de Caen ces derniers jours, dans le pesant silence des autorités et des grandes consciences nationales.
Rejoignez le groupe Facebook !
Pétition contre l’islamisation de nos Pays : Signez !
Publié 12 janvier 2011 dans Actualites 0 CommentairesLe samedi 18 décembre 2010, plus de mille personnes ont participé à Paris aux premières Assises sur l’islamisation de l’Europe. Au même moment, dans le monde entier, près d’un demi-million de personnes se sont connectées pour suivre en direct sur Internet les interventions à la tribune de personnalités venues de tous les horizons politiques, et de dix pays différents.Pour témoigner publiquement de leur accord et pour prendre date, les organisateurs et les intervenants ont signé un manifeste qui est un appel à la résistance contre l’islamisation de nos pays.
Ce manifeste est aussi une condamnation sans appel de la lâcheté de nos élites, qui laissent la loi islamique, la charia, remplacer les lois des hommes, de la collaboration d’une gauche servile et d’une droite opportuniste avec les islamistes ou encore de l’abandon de notre identité par les affairistes au nom de la mondialisation.
Nous appelons tous nos concitoyens à se joindre à cet appel en signant une pétition afin que les hommes politiques prennent conscience de la menace mortelle qui pèse sur l’avenir de notre pays et de notre continent.
En signant cette pétition, vous apportez vous aussi votre contribution à la sauvegarde de nos valeurs et de nos traditions.
Vous aussi, entrez en résistance ! |
Pour signer la pétition :
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: Permanence : 09 75 41 63 22 (de 09h00 à 20h00)
: Service Communication : 06 78 79 31 81
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