René Galinier est finalement sorti de prison ce Mardi 13 Octobre, après plus de 70 jours de détention, et demeure donc libre dans l’attente de son procès. Cette libération surprise intervient a huit jours à peine après que la cour d’appel du Tribunal de Montpellier ait confirmé le maintien en détention du septuagénaire, au motif odieux que sa mise en liberté « pourrait aussi susciter l’incompréhension dans l’ethnie d’origine des victimes et faire craindre des représailles ».
C’est qu’il s’en est passé des choses en huit jours ! En effet, le Comité Galinier animé par Richard Roudier, avait renforcé sa mobilisation autour de ce que l’on peut désormais appeler « l’affaire Galinier ». Depuis le mois d’Aout, différents rassemblement et manifestation avaient déjà eu lieu aux quatre coins du pays pour réclamer la libération de René. Afin d’accentuer cette mobilisation, suite à la décision scandaleuse de maintien en détention pour des motifs ethniques, le Bloc Identitaire prévoyait l’organisation de rassemblements simultanés devant les palais de justice de plus de 50 villes françaises pour ce Samedi 16 Octobre.
Dans le même temps, alors que l’initiative des identitaires avait déjà reçu le soutien de députés de la Droite populaire, comme Christian Vanneste, Lionnel Luca ou Elie Aboud, le Bloc Identitaire annonçait que le célèbre avocat au barreau de Marseille, Me Gilbert Collard avait accepté de prendre la défense du « Papy » de Nissan-les-ensérunes.
Les magistrats (et les politiques), informés de l’arrivée de Me Collard dans le dossier, et craignant semble t-il de voir René Galinier devenir un symbole du décalage entre les décisions de Justice et les aspirations du peuple, ont donc fait volte-face.
C’est donc clairement d’une nouvelle victoire des Identitaires, montrant une fois encore que notre mobilisation peut porter ses fruits, de manière très concrète, lorsqu’il s’agit comme ici de venir en aide aux nôtres.
Victoire, certes, mais victoire en demi-teinte. Tout d’abord parce que la libération de « Papy René » est assortie d’un contrôle judiciaire strict et de l’interdiction de regagner son domicile de Nissan-les-Enserune ! Nouvelle humiliation donc pour ce septuagénaire qui n’a fait que se défendre, et qui est aujourd’hui traité comme un paria, alors que les cambrioleuses, elles, n’ont pas été inquiété par la justice. Par cette décision, la justice se reconnait donc une fois de plus incapable de protéger René Galinier d’éventuelles représailles de la communauté tzigane locale. Victoire en demi-teinte, ensuite, car René Galinier demeure dans l’attente d’un jugement qui ne devrait pas avoir lieu.
La mobilisation continue ! Car c’est la racaille qui doit être interdite de séjour à Nissan, pas René Galinier ! Défendre son foyer n’est pas un crime !